La France participe activement au programme fusion européen qui vise à développer l'énergie de fusion comme source d'éléctricité du futur. Elle est également engagée dans la réalisation du projet ITER (la plus grande machine de fusion au monde, en construction actuellement sur le site de Cadarache, aux portes du CEA). Ces engagements définissent les orientations de l'IRFM.
Avec la transformation du tokamak supraconducteur Tore Supra en WEST, l'IRFM vise tout particulièrement la thématique de la gestion des flux de chaleur et particules dans les tokamaks réalisant des plasmas "en continu". Cet axe de recherche couvre l'ensemble des aspects scientifiques et techniques : de la théorie, la simulation, et l'expérimentation, à l'opération du tokamak en passant par les diagnostics nécessaires à l'étude, les technologies associées et leur intégration.
L’IRFM coordonne :
L’IRFM travaille aussi en étroite relation avec les laboratoires publics de recherche de la Fédération de Recherche sur la Fusion par Confinement Magnétique (FR-FCM), incluant notamment les laboratoires de l’Université d’Aix-Marseille sous la bannière de l’initiative d’Excellence AMIDEX, sont privilégiées et font l’objet d’une stratégie partagée.
Les priorités de l’IRFM sont de contribuer, dans ses domaines d'excellence, à l'avancée des recherches en fusion dont l'aspect le plus emblématique est désormais ITER. Ainsi, l'Institut focalise ses axes de recherche dans des domaines spécifiques où sa contribution peut-être reconnue et utilisée à l'échelle européenne et mondiale.
Ces domaines peuvent être résumés en quatre axes :
Maj : 29/01/2019 (723)